Bien que le spillback soit un mécanisme fréquent, il est mal connu car difficile à prouver. Pour qu’un vrai spillback ait lieu, l’espèce introduite doit attraper et transmettre efficacement le pathogène local. Comme ces espèces peuvent aussi modifier les écosystèmes, il devient compliqué d’évaluer leur impact. D’où la nécessité de mesurer précisément le nombre de cas dans les hôtes et vecteurs locaux, ainsi que leur abondance, surtout si la maladie est transmise par un insecte ou un acarien.