
Cette technique de chasse consiste à capturer des animaux vivants par contention :
Cette technique de chasse consiste à tirer sur des animaux sauvages depuis un tracteur ou une moissonneuse pendant les récoltes. Cela se fait souvent lorsque des animaux sont débusqués par la machine, les exposant ainsi comme cibles faciles.
Références :
C’est une méthode de chasse où des oiseaux de proie (légalement détenus), comme les faucons, sont utilisés pour capturer du gibier. Le chasseur, appelé fauconnier, entraîne son oiseau à poursuivre et à attraper des proies en vol ou au sol.
Cette technique ancestrale est hautement spécialisée et demande une connaissance approfondie du comportement des rapaces et de leurs proies.
C’est une méthode traditionnelle utilisée pour capturer des lapins. Le furet est introduit dans les terriers pour faire sortir les lapins, qui sont ensuite capturés dans des bourses (des filets ou sacs) placées à l’entrée des terriers.
Ces méthodes sont souvent utilisées pour éviter les souffrances et les risques associés aux appâts empoisonnés et pour minimiser l’impact négatif sur l’écosystème environnant.
Les appâts :
Les appeaux :
Les leurres et appelants :
Références :
Ces pièges utilisent des boucles qui se resserrent autour d’une partie du corps de l’animal. Lorsque l’animal appuie sur une palette (ou un autre mécanisme), le système se déclenche et le lacet se serre, immobilisant ainsi l’animal sans le blesser.
Ces pièges doivent être visités chaque jour par le piégeur, dans la matinée. La mise à mort des animaux capturés doit intervenir immédiatement et sans souffrances.
Ces pièges sont constitués d’une boucle (ouverture maximale de 20 cm de diamètre) de fil métallique qui se resserre autour du cou ou du corps de l’animal. L’arrêtoir est un dispositif qui empêche le collet de se refermer complètement, réduisant ainsi les risques de strangulation complète pour ne pas blesser l’animal.
Ils doivent être visités chaque jour par le piégeur, dans la matinée. La mise à mort des animaux capturés doit intervenir immédiatement et sans souffrances.
Les chasseurs s’aident souvent de chiens pour capturer, attaquer ou tuer un animal sauvage. Les chiens sont souvent entraînés pour traquer et maîtriser l’animal, permettant ainsi au chasseur de le capturer ou de le tuer plus facilement.
Une des utilisations des chiens intervient dans la méthode de chasse dite “au chien courant”. C’est une variante de la battue, pratiquée par un ou plusieurs chasseurs se déplaçant, guidés par les abois des chiens, qui ont levé le gibier et le poursuivent, afin de se poster sur la voie que l’animal chassé finira par emprunter.
Références :
La chasse à l’arc est une méthode où le chasseur utilise un arc et des flèches pour abattre des animaux. Elle demande une grande précision et beaucoup de patience, car le chasseur doit souvent se rapprocher discrètement de l’animal pour réussir son tir.
Cette forme de chasse se pratique souvent à l’affût ou à l’approche. C’est une méthode traditionnelle qui nécessite des compétences spécifiques et un équipement adapté.
La chasse à courre, ou vénerie, est une méthode traditionnelle de chasse où les chasseurs, accompagnés d’une meute de chiens, poursuivent un animal sauvage, comme un cerf ou un sanglier, à travers la forêt ou la campagne. Les chiens traquent l’animal en suivant sa piste, tandis que les chasseurs les suivent à cheval ou parfois à pied. L’objectif est d’épuiser l’animal jusqu’à ce qu’il soit immobilisé, permettant ainsi aux chasseurs de l’abattre.
Les pratiques légales respectent la législation en vigueur et sont scindées dans le guide selon leur caractère déviant. Lorsque les pratiques sont autorisées mais sont considérées comme non-éthiques ou comme portant atteinte à l’environnement ou à la circulation en forêt, nous vous demandons de témoigner directement sur notre site internet. Nous nous appuierons sur votre témoignage et ceux des nombreux autres lanceurs d’alerte pour interpeller les politiques et leur faire ouvrir les yeux sur ces pratiques préjudiciables.
Les infractions sont les pratiques de chasse qui ne respectent pas la législation en vigueur. Nous vous demandons dans ce cas de contacter sans tarder les agents forestiers locaux pour que ces pratiques soient sanctionnées comme il se doit. Témoignez également auprès du collectif SDC pour que nous puissions ajouter l’infraction ou la dérive observée à nos recensements totaux.
Les dérives de la chasse, entraînent de la maltraitance animale, déséquilibrent les écosystèmes naturels et empirent la cohabitation entre les différents usagers de la forêt. En les dénonçant, vous permettez directement au collectif de lutter contre ces pratiques en démontrant de manière incontestable que la législation actuelle sur la chasse est incomplète, ou en partie obsolète, et nécessite une révision.